Bio d'Aphex:
Richard D. James nait en 1971 à Limerick en Irlande. Son nom Aphex Twin vient du fait qu'il ait eu un jumeau mort né et des effets APHEX (systems). Il grandit en Cornouailles, au sud ouest de l'Angleterre.
Parce que sa mère en lui donnant naissance croyait voir en lui la résurrection d'un enfant qu'elle avait perdu plus tôt, elle le baptisa du même prénom. Très tôt, le jeune Richard s'amuse à frapper directement les
cordes d'un piano à l'aide d'un marteau. Il fait ses premiers enregistrements à l'âge de 14 ans. Durant son adolescence, il joue sur un synthétiseur pourri, un ordinateur Spectrum Sinclair et un sampler bon marché. Par la suite, il prend des cours d'électronique au Kingston Polytechnic de Londres. « J'ai appris à construire des circuits à partir de presque rien. » Mais, il abandonne au bout d'un an. « Je voulais me barrer et faire de la musique. »
Source: Wikipedia
Bio de chris:
Pendant son année passée à travailler sur les effets spéciaux du films « A.I » de Stanley Kubrick (adapté plus tard par Spielberg), Chris Cunningham n'avait qu'une idée en tête: réaliser ses propres vidéos.
Sa rencontre, en 1995, avec Sean et Rob du groupe Autechre, lui permis de faire son tout premier vidéo-clip.
Il intègre dans ses travaux, sa pratique de la sculpture (pour le clip « Second Bad Vilbel », il a lui même construit une sorte de machinerie industrielle dans son jardin qu'il a ensuite filmée) et de la peinture (avant chaque tournage, il dessine des storyboards très précis de ses idées).
L'année suivante, il réalisa plusieurs autres clips pour d'autres groupes (Auteurs, Placebo...), et en 1997 commença une longue collaboration entre Chris Cunningham et le musicien électro Aphex Twin qui donnera naissance à plusieurs projets, notamment à deux vidéo-clips « Come to Daddy » et « Windowlicker », ainsi qu'à un film et une vidéo-installation.
D'autres artistes furent intéressés par son travail, son style, sa créativité... entres autres Björk et Madonna.
Ses inspirations lui viennent en marchant dans la rue, en écoutant de la musique: «parfois un son dans une musique déclenche chez moi un souvenir ou un rêve qui lance le processus...». Dans « Come to Daddy » par exemple, Richard D. James utilise des voix d'enfants, ce qui lui a rappelé que dans son adolescence Chris Cunningham se faisait poursuivre par des enfants plus jeunes que lui qui le terrorisaient, il a exploité ce souvenir pour son clip.
Source: Wikipedia aussi